"Un conseil : évitez de traîner du côté de la machine à café et évitez le contact avec certains confrères."
"albertlondres" n'aime pas les délégués syndicaux et leurs amis. Il le fait savoir. Pas à la cantonade, n'exagérons rien, mais à l'occasion de petites rencontres informelles.
Ainsi vendredi dernier, il a tenu pour la première fois depuis plus de cinq ans, une réunion à la locale Amiens où il a adressé ces fortes recommandations. Pour rester dans le ton, il aurait même pu ajouter que nous avions des têtes pas très catholiques.
Il faut dire que ces affreux délégués syndicaux l'empêchent de "rédacteurenchef-iser" tranquillement. Ils sont venus défendre un confrère à qui il était reproché d'avoir fait son travail. Plus précisément d'avoir sorti une affaire qui déplaisait à quelques pontes de la CCI d'Amiens liés à nos amis du Crédit Agricole. Au moins avec les pages "bébés", on n'a pas tous ces problèmes !
Il s'est permis pour l'occasion de donner une leçon de titraille. "Ambiance malsaine à Sup de co", c'est pas très bon ! Il préfère : "Sup de co : la PJ enquête" ou "L'enquête sur le stress au travail à Sup de co". Voilà du titre percutant !
On ne voudrait pas se moquer mais la maison organise un stage "comment titrer". "albertlondres" peut s'y inscrire, son ami du Club des Cinq enregistre les candidatures jusqu'au 8 février.
L'as de la titraille a aussi repris sa chasse aux sorcières. La CFDT est plus que jamais en ligne de mire. Le "blogueur insomniaque" l'empêche visiblement de dormir. Il le déçoit aussi. De toute évidence, "albertlondres" a vérifié les heures de mise en ligne de ses billets dans l'espoir de le sanctionner au cas où il les aurait rédigés pendant les heures de travail. Et celui-là va encore lui troubler le sommeil. Faut-il dérégler l'horloge pour lui faire plaisir ?
On ne perd rien à attendre. Il l'a dit vendredi aux confrères amiénois : "Dans quatre mois, ça va changer !"
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